J’ai beau étudier tous les arbres généalogiques des porteurs de mon nom, quelle branche me rattache au couple de Monsieur et Madame Emeraude de CANIVET ?
Cet oiseau rare fut décrit pour la première fois par René Primevère LESSON, dans son Histoire Naturelle des Colibris, en 1830, d’après les observations de son homologue CANIVET[1]. Comme il est d’usage, l’oiseau reçut le nom de celui qui l’avait découvert et devint ornismya canivetii, ou oiseau-mouche parvule, avant d’être renommé Chlorostilbon canivetii canivetii ou émeraude de Canivet.[2]
Le CANIVET précité est très probablement Emmanuel CANIVET qui est aussi notamment l’auteur, avec Pierre Boitard, d’un Manuel du naturaliste préparateur[3] en 1828 et du Catalogue des Oiseaux du département de la Manche, en 1843.
Autrement dit, la Grande Famille CANIVET compte un oiseau-mouche parmi ses membres grâce à Emmanuel Jacques CANIVET.
Emmanuel est né le 04 mai 1796 à Carentan (50), fils de Jacques François Louis (Carentan 1764-1808), cordonnier, et de Anne Françoise ADDE (Gouville 1755- Carentan 1823). Il est le neuvième de leurs 10 enfants (dont 2 paires de jumeaux). Il épouse Elisabeth Marie Françoise Geneviève LERICHE. Ils auront au moins un fils prénommé Emmanuel Jean Baptiste, né en 1821 à Paris,10e.
Emmanuel finira sa carrière au musée communal de Mons en Belgique où il décède le 11 décembre 1849, à l’âge de 53 ans.
La Grande Famille Canivet ne connaît pas de descendance contemporaine à cette branche Canivet issue de Carentan (50).
Auteur : C. Canivet (Lignée 026)
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et en plus, il ronfle
http://www.pratique.fr/pourquoi-colibris-ronflent-ils-sommeil.html
Au pire, c’est un colibri qui lui ressemble