La Grande Famille Canivet

serguev GANYEV, un cousin?

Vous avez peut-être entendu parler de ce lointain ancêtre, le Khan YVET, venu d’Asie Centrale avec les hordes des AVARS que Charlemagne avait heureusement arrêtés aux marches de l’actuelle Hongrie. Hé bien nous avons peut-être identifié un parent qui confirmerait cette hypothèse hasardeuse.

Un matin, Nicolle, en rangeant un bijou dans sa petite boite – charmante miniature souvenir d’un voyage en Asie Centrale dans les années 1990 – en a sorti le Curriculum Vitae de l’artiste qui l’avait confectionnée et nous avons eu la surprise de découvrir que nous avions probablement un cousin là bas : Sergey GANIYEV

Cela ne nous avait pas alertés à l’époque, n’étant pas alors contaminés par le virus de la Généalogie. Mais aujourd’hui, nos neurones hyper conditionnés nous réveillent à la moindre suspicion de cousinage !

Boîte à bijoux confectionnée par S. Ganiyev

Sergey GANIYEV est né à

SAMARKAND en 1965. Il a obtenu un diplôme de l’Université des Beaux Arts – Section Peinture et Dessin de MOSCOU (à l’époque, l’Ouzbékistan était l’une des Républiques Socialistes Soviétiques).
Ses œuvres ont été exposées en Ouzbékistan (Tachkent et Samarkand) et au Kazakhstan (Alma Ata).

Les objets qu’il fabrique sont appréciés et ont été achetés par des touristes venus de toutes les parties du monde.

Il est membre de l’association d’artisans qualifiés « KHUNARMAND ». Il travaille à la galerie d’arts « ALFIA » depuis 1994.
ART GALLERY “ALFIA”
Sh RASHIDOV St 67
703000 SAMARKAND

Les signatures du cousin serguev

Samarkand est un endroit fabuleux. Les invasions y ont déferlé au cours des siècles. Alexandre le Grand y est passé, puis les Arabes l’ont conquise et colonisée, suivis par les Mongols de Gengis Khan. Les successeurs de celui-ci, convertis à l’Islam, ont régné sur un empire qui allait de Grenade aux confins de la Chine. La route de la soie passait par là, contribuant à la richesse de la cité. Puis la Russie des Tsars a colonisé la région à son tour dans sa course contre l’Angleterre pour s’installer en Asie. Les Bolcheviks ont pris la suite et une chape de plomb a été maintenue sur les cultures locales, jusqu’à ce que l’effondrement de l’URSS permette à ces pays d’Asie Centrale de retrouver une indépendance relative.

Jean-Pierre et Nicolle CAREL-CANIVET Lignée 063